Carliso SA a été fondée dans le but de développer des projets de construction écologique dans la région du Tessin, en offrant des solutions de logement de haute qualité qui intègrent les technologies les plus modernes disponibles sur le marché en termes de durabilité environnementale et d’économie d’énergie.
Nos projets sont conçus et construits pour répondre aux besoins actuels et futurs du marché, en mettant l’accent sur les besoins de ceux qui souhaitent vivre dans un environnement sain, confortable et durable.
Nous recherchons et adoptons constamment des technologies innovantes pour réduire et optimiser les coûts de fonctionnement des habitations. Nous utilisons des systèmes domotiques avancés, des sources d’énergie renouvelables et des matériaux d’isolation à haute performance pour garantir des économies d’énergie maximales et un niveau de qualité élevé.
Tout cela est ensuite proposé à des coûts abordables, par rapport aux objets que nous proposons, et avec des coûts de maintenance exponentiellement inférieurs à ceux du marché normal.
Le terme « bâtiment vert » ou « architecture verte » fait référence à la manière de concevoir, de construire et d’exploiter un bâtiment dans le respect des principes de durabilité environnementale, en réduisant les impacts négatifs sur l’environnement.
La conception d’un bâtiment écologique consiste à réduire la consommation d’énergie du bâtiment afin d’avoir le moins d’impact possible sur l’environnement (et aussi sur les finances).
Le bien-être est essentiel : une maison écologique doit offrir un environnement sain et confortable à ses habitants.
La force de ce matériau réside avant tout dans ses qualités écologiques durables.
Le marché de la construction écologique en Suisse
D’ici 2020, plus de 37 % des demandes de construction de maisons individuelles en Suisse concerneront la construction écologique.
La qualité de vie, les économies d’énergie et la durabilité environnementale sont les trois principes sur lesquels repose la discipline de la bio-architecture.
Trois points de départ simples, et pour certains triviaux, à partir desquels il est possible de développer tout type de conception qui respecte les règles de la construction écologique moderne.
Dans un bâtiment traditionnel, plus de 60 % des pertes de chaleur proviennent des murs en maçonnerie, ce qui peut être réduit par l’application d’un « enduit », mais reste extrêmement élevé par rapport aux pertes des matériaux utilisés dans la construction verte, à savoir le bois et le verre, qui offrent en outre une thermorégulation naturelle pour notre bien-être.
Dans un monde de plus en plus agité, hyperconnecté et artificiel, se rapprocher de la nature n’est pas seulement un luxe, mais une nécessité profonde pour le bien-être du corps et de l’esprit. Vivre près de la nature signifie se reconnecter aux rythmes authentiques de la vie, ralentir, respirer de l’air pur et redécouvrir ce qui compte vraiment.
Marcher dans une forêt, personnelle, possédée, entretenue et adaptée à vos besoins, écouter le silence rompu uniquement par le chant des oiseaux ou le bruissement du vent dans les feuilles, observer une vue qui se perd entre les collines, les montagnes ou les étendues vertes : ce sont des expériences simples mais incroyablement puissantes. La nature ne juge pas, ne demande rien, mais donne de l’équilibre, de l’inspiration et une paix qu’il est difficile de trouver ailleurs.
Avoir la nature à ses côtés tous les jours – se baigner dans sa propre piscine biotope naturelle, sans produits chimiques, riche en oxygène végétal et filtrée naturellement – permet de réduire le stress, d’améliorer l’humeur, de renforcer la santé mentale et de stimuler la créativité. C’est un retour aux sources, à une dimension plus humaine et authentique.
Redécouvrir la nature, c’est aussi se redécouvrir soi-même. Dans un monde qui nous pousse toujours vers l’extérieur, la nature nous invite à regarder à l’intérieur, à ralentir, à vivre dans le présent. Et plus nous la gardons près de nous, plus nous apprenons à la chérir et à la respecter, car elle fait partie intégrante de notre vie quotidienne.
Nos projets utiliseront au maximum les technologies vertes afin de minimiser la consommation d’énergie et d’autoproduire (dans les limites de la législation en vigueur) l’énergie nécessaire à leur propre fonctionnement.
Nous utiliserons des systèmes photovoltaïques traditionnels ou de nouvelles technologies à faible impact visuel et structurel (tuiles photovoltaïques), des systèmes d’onduleurs avec des stations de recharge bidirectionnelles pour optimiser le stockage de l’énergie produite, des pompes à chaleur, un chauffage par le sol à basse température ou à air pulsé, un refroidissement par circulation d’eau froide et une ventilation forcée, sans recours à l’air conditionné.
La domotique viendra compléter la meilleure gestion des systèmes pour optimiser et éviter tout gaspillage, par exemple lorsque le bien est vide, pendant une longue période (vacances) ou même à certains moments de la journée.
*L’autonomie partielle est liée à la législation actuelle qui n’autorise pas les bâtiments autosuffisants ou les îlots de bâtiments, mais qui doivent, à ce jour, être connectés aux réseaux énergétiques existants.
Nos projets utiliseront au maximum les technologies vertes afin de minimiser la consommation d’énergie et d’autoproduire (dans les limites de la législation en vigueur) l’énergie nécessaire à leur propre fonctionnement.
Nous utiliserons des systèmes photovoltaïques traditionnels ou de nouvelles technologies à faible impact visuel et structurel (tuiles photovoltaïques), des systèmes d’onduleurs avec des stations de recharge bidirectionnelles pour optimiser le stockage de l’énergie produite, des pompes à chaleur, un chauffage par le sol à basse température ou à air pulsé, un refroidissement par circulation d’eau froide et une ventilation forcée, sans recours à l’air conditionné.
La domotique viendra compléter la meilleure gestion des systèmes pour optimiser et éviter tout gaspillage, par exemple lorsque le bien est vide, pendant une longue période (vacances) ou même à certains moments de la journée.
*L’autonomie partielle est liée à la législation actuelle qui n’autorise pas les bâtiments autosuffisants ou les îlots de bâtiments, mais qui doivent, à ce jour, être connectés aux réseaux énergétiques existants.
